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samedi 21 juillet 2012

Relations personnelles avec Dieu


  Placez constamment devant Dieu vos besoins, vos joies, vos tristesses, vos soucis et vos craintes. ... 
  “Le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion.” Jacques 5 :11
  Son cœur est touché de nos douleurs, et du récit même que nous lui en faisons. ... Rien de ce qui touche à notre paix ne lui est indifférent. Il n’est pas dans notre vie chrétienne de chapitre trop sombre pour qu’il n’en prenne connaissance, ni de problème si troublant qu’il n’en trouve la solution. Nulle calamité ne fond sur le moindre de ses enfants, nulle angoisse ne torture son âme, nulle joie ne le ranime, nulle prière sincère ne monte de ses lèvres, qui échappe à l’attention de notre Père céleste, et à laquelle il ne prenne un intérêt immédiat.
  “Il guérit ceux qui ont le cœur brisé, et il panse leurs blessures.” Psaumes 147 :3
  Les rapports entre chaque âme et Dieu sont aussi distincts, aussi suivis que s’il avait donné son Fils bien-aimé pour cette seule âme.
Vers Jésus, 100.

samedi 14 juillet 2012

Ce que signifie la vraie tempérance



Atteindre au plus haut degré de perfection — “Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu.”
Nous ne vivons qu’une fois ; chacun de nous devrait se demander : “Comment dois-je orienter mon existence pour qu’elle soit le plus utile ? Comment puis-je contribuer à la gloire de Dieu et au bien de mes semblables ?” Car la vie n’a vraiment de valeur que dans la mesure où elle tend à atteindre ces buts.

Notre premier devoir à l’égard de Dieu et de nos semblables consiste à développer nos capacités. Nous devrions cultiver jusqu’au plus haut degré de perfection chacune des facultés que Dieu nous a confiées ; nous pourrions ainsi accomplir tout le bien dont nous sommes capables. Par conséquent, le temps consacré à améliorer et à préserver la santé physique et mentale est employé de la meilleure manière possible. Nous ne pouvons pas nous permettre d’affaiblir ou d’amputer une seule des fonctions de notre esprit et de notre corps, en surmenant ou en négligeant ce mécanisme vivant. Si nous le faisons, nous pouvons être assurés que nous aurons à en subir les conséquences.
L’intempérance, au sens strict du mot, est responsable de la plupart des maux de l’humanité; elle cause la perte de dix mille personnes par an *. Mais elle ne se limite pas à l’usage de l’alcool. Elle a une plus large signification et recouvre toute satisfaction malsaine d’un appétit ou d’une passion. — The Signs of the Times, October 27, 1887.